20ème siècle - PATROS
H.- PATROS
A.- Patro des garçons.
- Il fut mis sur pied dans l’immédiat après-guerre par Wilfried DEPAUW, neveu du curé de la paroisse. Ses activités furent plutôt limitées, et temporaires en comparaison avec celui des filles. Nous ne disposons d’aucun document d’époque.
- Sans lien direct avec le patro, bien que dans la même lignée, une troupe de « scouts d’Europe » a vu le jour en 1974, mais son existence ne semble pas avoir dépassé le cap des trois à quatre ans. La troupe fut fondée par des responsables tournaisiens et prit le nom de « 11ème Hainaut Maubray, troupe Saint-Amand ». Ces fervents de la vie en plein air – une bonne vingtaine au total – étaient dirigés par Bernard BAUSIERE et Bernard DEREPPE. Ils se récréaient chaque dimanche après-midi en pratiquant des marches, des pistes et jeux divers, et organisaient des camps pendant la bonne saison.
L'unité scoute était divisée en quatre branches:
- les castors (6 à 8 ans),
- les louveteaux (8 à 12 ans),
- les éclaireurs (12 à 17 ans),
- les routiers (17 à 21 ans).
B.- Patro des filles Saint-Joseph.
1. C’est en avril 1948 qu’il prit naissance. Le mouvement a été créé à l’initiative et au dévouement de Marie-Rose D’HAESE (nièce de l’abbé DEPAUW), assistée d’Andrée HENNEQUIN et de Lucie DUROISIN.
Groupe des premières patronnées :
de Gauche à Droite : Monique MORY, Lucie DUROISIN, Marie-Rose D’HAESE, Annie HANOT, Josiane MORY, Lucie LEVEAU, Florentine DUROISIN
A leur suite, plusieurs autres jeunes filles – après avoir obtenu leur brevet de dirigeantes – se sont relayées pour continuer l’œuvre commencée. Les noms de Nelly VERCAUTEREN, Nicole VICO, Marijke DEFOORT, Jacqueline ESCALIER sont régulièrement mentionnés dans les reportages. Mais une dirigeante inlassable et appréciée fut sans conteste Sœur BEATRICE.
Groupe des patronnées de 1971 à 1976 :
6. Toutefois, après son départ, le groupe – qui comptait encore une quarantaine d’unités – fut pris en mains par Cécile BEUDIN et elle en assura en tout cas la viabilité, puisqu’en 1986 – dernier document en notre possession – différentes sections coexistaient encore et des après-midi de fête étaient suivis de soupers au Foyer de l’amitié.